Leggett ouvre la voie à une technologie qui fait gagner du temps.
L’un des aspects positifs de notre adaptation au confinement est que certaines technologies et tendances, qui auraient pu arriver dans cinq ans, sont arrivées en cinq mois.
Dans le monde de l’achat et de la vente de biens immobiliers, l’adoption du compromis de vente électronique en fait partie. Pour Leggett, 75 % des CDV signés sont désormais électroniques : ce que l’on appelle le « e-CDV ». Pourquoi une telle importance ? Le gain de temps est un facteur de transformation, tout comme le fait que les contrats de vente peuvent être conclus à distance, sans que l’acheteur ou le vendeur n’ait à se déplacer. Depuis un an, les avantages de ce système sont évidents, tout comme les raisons pour lesquelles tant de ventes immobilières se sont poursuivies pendant la pandémie. Au lieu d’utiliser les services postaux, tous les documents sont envoyés par courrier électronique et peuvent être signés électroniquement, et ceci en toute sécurité. Cela permet de réduire le délai entre la signature du compromis et la notification SRU (le délai de réflexion obligatoire pour l’acquéreur pendant lequel il a le droit de se rétracter). Le processus réduit la nécessité de tout contact entre les personnes et permet donc la poursuite de l’achat ou de la vente, même pendant une période de confinement. Pour les vendeurs, l’accord avec leur agent pour vendre leur bien – le mandat – peut également être numérique.
De plus, il existe des visites virtuelles disponibles pour de nombreux biens, des visites « en maison de poupée » (visites en 3D à travers chaque pièce) et aussi des vidéos de certains biens par drone, pour permettre aux chasseurs de biens de voir un maximum de choses. Les visites virtuelles en direct, ou « walk-throughs », avec des agents via des logiciels de vidéoconférence tels que Skype, FaceTime ou WhatsApp, sont également très populaires pour leur aspect personnalisé. C’est incroyable ce que l’on peut faire depuis son canapé par rapport à il y a un an !