24 Heures dans la vie d’un agent. Avec Mike Goldsmith, en Pays de la Loire
Hello, je suis agent et coach dans le nord des Deux-Sèvres et en Maine et Loire. Avec Leggett Immobilier depuis maintenant 4 ans, j’adore la flexibilité qu’offre mon job !
Un jour dans ma vie… Par où commencer et lequel choisir ? Attendez une minute, aucune journée ne se ressemble.
Si, tout de même, il y des tâches hautement prioritaires avec lesquelles je débute toujours mes journées : être en contact en temps et en heure avec mes clients et les vendeurs.
Etudier et comprendre à fond ce que chaque client recherche exactement peut prendre un temps infini. J’ai l’habitude d’adresser des suggestions par email, mais je préfère parler au téléphone. Etonnant l’effet que peut avoir sur les Anglais, une voix amicale qui s’exprime dans leur langue dans le pays où ils recherchent la maison de leurs rêves… Avec les clients français, je confesse que les emails sont suffisants car ils savent parfaitement ce qu’ils veulent acheter et à quel endroit.
Vient le moment où je regarde mon bureau couvert de papiers – et tout en me rappelant que l’organisation est fondamentale dans notre métier – je me demande : « Que faire à présent ? »
C’est là que je me concentre sur les propriétés que j’ai à vendre.
Je dois faire le point sur chacune d’elles. Aujourd’hui, je commence à rédiger une nouvelle vente. C’est une première pour moi (pas la vente, je m’empresse de le préciser) car il s’agit d’un acheteur espagnol. La part administrative du travail prend du temps, mais le vrai job, c’est d’aller à l’extérieur pour faire visiter des propriétés et en trouver de nouvelles.
J’aime particulièrement découvrir des propriétés dans les villages que je ne connais pas encore et rencontrer de nouveaux vendeurs. Nous avons généralement beaucoup de choses à nous raconter. C‘est fou comme le monde est petit ! Je me souviens d’avoir trouvé, il y a quelques années, une maison où il y avait une carte des Malouines dans l’escalier et une photo de Margaret Thatcher et d’un capitaine sur le pont de son navire dans le port de Stanley. Je me suis tourné vers le vendeur et lui ai dit exactement quand la photo a été prise. C’était en janvier 1983 car je travaillais à cette époque dans la tour de contrôle de l’aérodrome de Stanley et j’avais supervisé le vol de la première ministre. Mais, je crois que je m’égare … La propriété que j’ai rentrée hier était très intéressante… Il s’agit d’un vieux monastère avec un immense lac de pêche … J’ai réussi à en faire des photos fantastiques qui me laissent à penser que je vais la vendre rapidement. (Cette propriété sera bientôt sur notre site, NDLR).
J’aime beaucoup faire les visites car les clients sont à la poursuite de leur rêve ou de ce qu’ils croient être leur rêve – c’est là que notre métier et nos savoir-faire entrent en jeu : On les aide à trouver l’équilibre entre le rêve et la réalité. Si j’ai bien déchiffré leurs souhaits, obtenir une offre à la fin de la visite est toujours un moment particulièrement agréable.